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Notre parrain Maxime Sorel et un patient ont gravi le Kilimandajaro !

Le 17 janvier 2022, le skipper Maxime Sorel, parrain national de notre association, a gravi le toit de l’Afrique en compagnie de Paul Fontaine, patient atteint de mucoviscidose. Au total, 13 personnes ont relevé ce défi de taille en portant au plus haut les couleurs de l’association. Un véritable exploit qui donne du courage et du bonheur à toute la communauté muco !

Dernière mise à jour 03.02.2022 à 17h45

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Ce groupe d’aventuriers solidaires, qui ne se connaissaient pas tous au départ, était composé du skipper Maxime Sorel, de Paul Fontaine (atteint de mucoviscidose et parrain du bateau avec lequel Maxime Sorel a bouclé son tour du monde), de soignants, et de sportifs de haut niveau (comme la kayakiste Manon Hostens). Ils sont tous partis le 12 janvier 2022 à l’assaut du Kilimandjaro afin de récolter des fonds au profit de Vaincre la Mucoviscidose.

7 jours plus tard, ils ont atteint le sommet de la plus haute montagne d'Afrique, non sans difficultés, mais avec une rage incommensurable.

Maxime Sorel, sportif de haut niveau et adepte des défis qui n’a peur ni des extrêmes ni de la solitude avait accepté de participer à ce défi pour faire avancer la recherche. Il a été, pendant ce périple, le moteur qui a permis l'ascension à plus de 5 000 mètres.

« Juste un mois avant le départ, Paul Fontaine, atteint de mucoviscidose et parrain du bateau avec lequel je viens de boucler le Vendée Globe, m’a proposé cette ascension. J’ai tout de suite accepté pour lui, mais également pour offrir une plus grande notoriété à l’association, puis j’avais un peu de temps devant moi. J’ai toujours aimé la montagne et la grimpette !  Je trouvais ça chouette qu’un bateau qui porte les couleurs de l’association Vaincre la Muco ait comme parrain un patient. Ça avait un vrai sens. Paul est une personne entière, qui a envie de faire avancer les choses », affirme Maxime Sorel.

Coach mental et conférencier professionnel âgé de 38 ans, Paul Fontaine se bat contre la mucoviscidose depuis ses deux ans. Grand sportif malgré tout, il cherche en permanence à relever de nouveaux défis.

« Je fais le parallèle avec le Vendée Globe et le travail de Maxime. Durant son tour du monde, il a dû affronter des casses, un pilote automatique. Avec Maxime, on s’est rencontré en 2017, à Nantes, lors d’une Assemblée générale de Vaincre la Mucoviscidose. L’amitié épistolaire s’est peu à peu transformée en une amitié sincère », souligne Paul.

En terminant l’ascension du Kilimandjaro en sept jours, Paul et ses compagnons d’aventures viennent de réaliser un véritable exploit.

Crédits photos : © Latitude35 Racing